Choisir sa médecine : question de liberté !

La médecine est-elle en bonne santé ? Quelle "médecine" choisir aujourd'hui ? C'est une question d'actualité et de liberté qui mérite un temps de réflexion.
Vers qui se tourner, et pourquoi ? C'est un peu comme faire un "bilan de santé" de la médecine actuelle après la grande "tribulation" du Covid-19 et de son "remède" à plusieurs doses...

Choisissez-vous "la classique", "l'alternative" ou "la responsable" ?

La médecine classique est typiquement dans l'ère du temps.
Son but est de soigner les conséquences d'un problème de santé, déclenché chez l'individu. Elle traite, répare, consolide, sauve "de la mort" (qu'elle considère généralement comme un échec).
Elle est issue de recherches scientifiques, des preuves, des statistiques, des algorithmes et même de plus en plus de l'I.A. qui assurent son efficacité.
Elle lance des campagnes publicitaires (propagande) sur la médication, la vaccination, les dépistages... pour toucher un maximum de personnes.

La médecine classique appartient au système médical français grâce au régime de sécurité sociale français qui assure des soins à tous et toutes. On appel cela "la prise en charge" ou "l'assurance maladie" du système de santé.
Tout français peut prétendre a une "prise en charge quasi-totale" des soins médicaux, et relativement partielle des soins dentaires, d'optique et auditifs, qui sont considérés comme plus accessoires (!).
Le nouveau système numérique "Mon espace santé" donne accès à toutes vos données personnelles de santé à n'importe quel professionnel de santé, c'est une sorte de "carnet de santé numérique" (surnommé le mouchard numérique).

La médecine classique c'est la "santé pour tous", à n'importe quel prix (!?).
Cela demande d'être en accord avec le principe des consultations en "visio" (derrière un ordinateur ou via un téléphone portable), les prescriptions des médecins aux injections contre la Covid, ou encore avec les recherches en transhumanisme (et autres approches technosolutionnistes).

L’État délivre un Diplôme d'État à tous praticiens allopathiques médicaux ou para-médicaux. Tout est donc sous contrôle, notamment grâce aux "Ordres" : des médecins, des kinésithérapeutes, des pédicures-podologues... On ne risque plus rien !

La médecine alternative
C'est l'antithèse de la médecine classique de l'État... tout en cherchant à l'imiter.
Son but est de soigner les maux, la maladie car le mal à dit (!), de manière naturelle grâce aux remèdes qu'offre la Nature. Il existe pléthores d'alternatives, qu'elles soient naturopathique, phytothérapeuthique, énergétique, quantique (très à la mode actuellement), sonore...

Son but est de proposer une alternative à la médecine classique en soignant les symptômes, en accompagnant avec "bienveillance" mais aussi en diminuant les effets secondaires des traitements de la médecine classique. Bon nombre de thérapeutes ont d'ailleurs développés des soins spécifiques contre les injections Covid ( compromis ou caution, qu'en pensez-vous !?).

La médecine alternative trouve son inspiration, soit dans le psycho-spiritualisme, soit dans les médecines ancestrales de nos voisins indiens, aborigènes ou chinois (Médecine Traditionnelle Chinoise, Ayurveda...), soit dans les nouvelles techniques/sciences russes ou régimes alimentaires et de "compléments alimentaires".
Elle propose ainsi une multitude de techniques et/ou de couteux appareils qui prennent en charge le malade.
Elle reste -cependant- sélective quand aux personnes à soigner car les soins proposés peuvent être à des coûts prohibitifs (notamment). Parfois, aussi, elle reste trop psycho-abstraire. 

La médecine responsable
C'est une médecine méconnue. Son but est d'avantage de prévenir plutôt que de guérir ou soigner.
"Responsable" trouve son origine dans le nom latin "respondere" (= se porter garant, répondre de) apparenté à "sponsio"(= promesse). Ce "sens des responsabilités" se retrouve dans les Évangiles, lorsque le Christ réalise Ses Guérisons (ou Miracles), en invitant les gens à être responsables de leur Destinée ou parcours de vie.

L'idée est de se porter garant de sa santé, de répondre de ses actes, pour être en bonne santé, de prendre en charge sa santé par soi-même, de se reconnaitre autant auteur de sa bonne santé que de ses problèmes de santé et d'en assumer les conséquences (et les efforts à fournir).

Elle invite à la remise en question des habitudes de vie, du comportement qui sont néfastes pour la santé. C'est une médecine globale (holistique) qui prend en compte la personne et l'environnement dans lequel elle vit. Ce qui nécessite de penser, de comprendre et de faire des choix.

Soigner les conséquences d'un problème de santé n'est pas son objectif. Cependant quand la maladie apparait, elle cherchera toujours la cause (principe du Causalisme : recherche de l'origine du problème pour trouver les bons moyens à mettre en œuvre pour se soigner).

Les campagnes de vaccination ne l'intéressent pas car elle préfère renforcer naturellement le système immunitaire, nerveux, métabolique (par l'alimentation, la détente nerveuse, la juste activité physique, le sommeil, des compléments alimentaires nécessaires ou encore par des techniques de soins réflexologiques et/ou énergétiques...).

La médecine responsable est libre, elle discerne et utilise quand il le faut la médecine classique (intervention chirurgicale nécessaire ou certaines urgences) ou bien la médecine alternative (accompagnement).
Elle cherche l'intégrité dans les actes avant tout pour aligner le Corps, l'Âme et l'Esprit.

Vous reconnaissez-vous dans l'une ou l'autre de ces médecines ?
Voici, ici, l'expérience de mes 25 années de pratique, dont quelques années faites en tant que soignante Diplômée d’État (!).

Je suis certaine que la "médecine responsable" soigne au-delà du corps physique. Cette "médecine" se veut vertueuse : elle active le courage, renforce l'endurance, cherche la vérité et incite à la liberté selon la Parole du Christ : "Vous connaitrez la Vérité et la vérité vous rendra libre" Jean VIII, 32

C'est pourquoi aujourd'hui, je me positionne dans mes consultations en m'adressant prioritairement aux personnes non injectées contre le Covid-19, aux non-abonnées à la 5G  ou, si c’est le cas, qui sont dans une démarche de résilience et donc de responsabilité.